PointeMag

« Bronzette en Seine »
Couverture PointeMag Mai 2025 - PointeMag, Enzo, "Bronzette en Seine"

Crédits photos © Jimmy Concy

Les fabuleux objets du PAD 2025 de Paris à retrouver toute l’année dans les galeries

Le PAD de Paris installé au Jardin des Tuileries du 2 au 6 avril 2025, a sonné sa 27e édition. Ce salon de l’art et du design signé en 1998 par un duo de marchands d’art, Stéphane Custot et Emmanuel Moatti, porte officiellement le nom de Pavillon des Arts et du Design en 2007. Exporté face à son succès, il a également lieu à Saint-Tropez puis à Londres les mois de juillet et octobre suivants. La diversité des nombreux stands réunit collectionneurs, professionnels, néophytes et amateurs à travers une resplendissante surenchère d’échantillonnage décoratif, qui rassemble les oeuvres d’un aujourd’hui et hier modernes. Certaines pièces nous ont éblouis, voici notre chronologique sélection.

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– Les cache-pots d’Émile Muller, spécialiste du grès émaillé, Émile Muller a produit de nombreux vases et pots aux courbes invitant à d’antiques rêveries dans un parfum d’Art nouveau. https://galerielestudio-hp.com/

– Les vases en céramique de Georges Jouve aux lignes cubiques et froides ou aux motifs helléniques et chauds, peu importe où ils sont posés, leurs surfaces suaves attirent tous les regards. https://www.jacqueslacoste.com/, https://www.thomasfritsch.fr/, https://chastel-marechal.com/

– Mais le choix par la galerie Thomas Fritsch de la table carrelée de Roger Capron met ainsi en valeur l’harmonie thermale de l’ensemble. On retrouve également chez cet autre céramiste l’influence classique greco-romaine dans les silhouettes de ces soldats grecs aux boucliers qui dessineraient les yeux d’une assiette en forme de tête. https://www.jacqueslacoste.com/, https://www.thomasfritsch.fr/

– Le sculpteur Enric Mestre crée un point de rencontre entre l’architecture box et la sculpture en grès, attribuant à la céramique le titre d’une noblesse cubique incroyable. https://modernshapes.be/artiste/6-enric-mestre

– La galerie Laffanour a su présenter un espace empreint de chaleur où s’acclimatent à la fois un bougeoir extrait des « Animaux quantiques » de Richard Texier et les bancs d’une pureté minimaliste des plus naturelle de l’artiste coréen Choi Byung Hoon. https://www.galeriedowntown.com/

– Dans un registre plus métallique, deux éléments de mobilier ont aiguisé notre vue, la bibliothèque d’Hermann Becker en acier patiné ainsi que la chaise longue « Flame Cut » (2008) de Tom Dixon, également en acier, a reçu le prix du design contemporain du PAD de 2025. https://romainmorandi.com/

– Les cache-pots d’Émile Muller, spécialiste du grès émaillé, Émile Muller a produit de nombreux vases et pots aux courbes invitant à d’antiques rêveries dans un parfum d’Art nouveau. https://galerielestudio-hp.com/

– Les vases en céramique de Georges Jouve aux lignes cubiques et froides ou aux motifs helléniques et chauds, peu importe où ils sont posés, leurs surfaces suaves attirent tous les regards. https://www.jacqueslacoste.com/, https://www.thomasfritsch.fr/, https://chastel-marechal.com/

– Mais le choix par la galerie Thomas Fritsch de la table carrelée de Roger Capron met ainsi en valeur l’harmonie thermale de l’ensemble. On retrouve également chez cet autre céramiste l’influence classique greco-romaine dans les silhouettes de ces soldats grecs aux boucliers qui dessineraient les yeux d’une assiette en forme de tête. https://www.jacqueslacoste.com/, https://www.thomasfritsch.fr/

– Le sculpteur Enric Mestre crée un point de rencontre entre l’architecture box et la sculpture en grès, attribuant à la céramique le titre d’une noblesse cubique incroyable. https://modernshapes.be/artiste/6-enric-mestre

– La galerie Laffanour a su présenter un espace empreint de chaleur où s’acclimatent à la fois un bougeoir extrait des « Animaux quantiques » de Richard Texier et les bancs d’une pureté minimaliste des plus naturelle de l’artiste coréen Choi Byung Hoon. https://www.galeriedowntown.com/

– Dans un registre plus métallique, deux éléments de mobilier ont aiguisé notre vue, la bibliothèque d’Hermann Becker en acier patiné ainsi que la chaise longue « Flame Cut » (2008) de Tom Dixon, également en acier, a reçu le prix du design contemporain du PAD de 2025. https://romainmorandi.com/

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– Les toiles des 24 saisons japonaises divisées en quatre tableaux : été, automne, hiver, printemps, représentées par Shinsuke Kawahara renouvellent la thématique de la nature chérie des artistes de l’archipel nippone depuis une dizaine de siècles. https://www.instagram.com/shinsuke_kawahara/?hl=fr, https://galeriejag.com/

– Les stèles lumineuses du sculpteur slovaque Vladimir Zbyňovský attrapent l’esprit dans sa dimension diptyque de pierre et de verre, deux matériaux terrestres dont les reflets se répondent l’un à l’autre. https://www.dutko.com/artists/133-vladimir-zbynovsky/

– Située vers le centre du PAD, la galerie d’Amélie du Chalard dévoile un post-romantisme aux airs sylvestres grâce notamment à la merveilleuse toile monumentale de Bonnie Colin. https://www.amelieduchalard.com/fr/

– L’espace JAG inspire une réflexion méditative sur l’emboîtement des matériaux de bois entre la statue « Anémone » de Nicolas Lefebvre surmontée d’une veille amphore et de corail et le panneau de Valentine Rosi-Mistou incrusté de morceaux de faïence colorée qui nous interroge sur le regard entre forme parfaite et accidentée. https://galeriejag.com/

– Enchantés par les trésors que recèle la galerie Palaty, nous citerons trois artistes russes contemporains. Les patchworks de Natalia Kosovets transcendent de délicatesse aussi bien par leur matière textile que par leurs couleurs. Les panneaux en métal et aluminium d’Alexandra Lapaeva proposent une vision réinterprétée de la tradition ornementale russe. Les nuances de couleur des sculptures céramiques d’Irina Razumovskaya s’évanouissent jusqu’à l’effacement. Leurs surfaces fêlées pénètrent le mystère d’une réflexion sur le temps, qui peut renvoyer plus précisément au temps propre à la femme. https://www.palatygallery.ru/eng, https://www.instagram.com/irina.r.art/?hl=fr

– Une deuxième bibliothèque a suspendu notre déambulation au sein du stand de la Scène ouverte, celle du designer néerlandais Rino Claessens dont les modules en céramique semblent emboîtés comme des puzzles. Le travail de l’arrondi fixe le point commun de ses différentes œuvres où la matière solide se métamorphose en lignes d’une douceur presque liquide. https://galerie-sceneouverte.com/

Margo Poisson incarne dans ses objets l’oxymore du lourd et du leste. Y aurait-il une allusion entre le nom de la toute jeune artiste et le pied de cette lampe recouvert d’une corde faussement flottante de bateau de pêche ? Nous en retiendrons l’amusement de ces jeux picturaux aussi étonnants que ludiques. https://maisonjaunestudio.com/

  Le PAD offre une seconde édition française de son salon du 12 au 20 juillet 2025 à Saint-Tropez, entre deux bains de soleil, c’est une occasion à ne pas manquer !

– Les toiles des 24 saisons japonaises divisées en quatre tableaux : été, automne, hiver, printemps, représentées par Shinsuke Kawahara renouvellent la thématique de la nature chérie des artistes de l’archipel nippone depuis une dizaine de siècles. https://www.instagram.com/shinsuke_kawahara/?hl=fr, https://galeriejag.com/

– Les stèles lumineuses du sculpteur slovaque Vladimir Zbyňovský attrapent l’esprit dans sa dimension diptyque de pierre et de verre, deux matériaux terrestres dont les reflets se répondent l’un à l’autre. https://www.dutko.com/artists/133-vladimir-zbynovsky/

– Située vers le centre du PAD, la galerie d’Amélie du Chalard dévoile un post-romantisme aux airs sylvestres grâce notamment à la merveilleuse toile monumentale de Bonnie Colin. https://www.amelieduchalard.com/fr/

– L’espace JAG inspire une réflexion méditative sur l’emboîtement des matériaux de bois entre la statue « Anémone » de Nicolas Lefebvre surmontée d’une veille amphore et de corail et le panneau de Valentine Rosi-Mistou incrusté de morceaux de faïence colorée qui nous interroge sur le regard entre forme parfaite et accidentée. https://galeriejag.com/

– Enchantés par les trésors que recèle la galerie Palaty, nous citerons trois artistes russes contemporains. Les patchworks de Natalia Kosovets transcendent de délicatesse aussi bien par leur matière textile que par leurs couleurs. Les panneaux en métal et aluminium d’Alexandra Lapaeva proposent une vision réinterprétée de la tradition ornementale russe. Les nuances de couleur des sculptures céramiques d’Irina Razumovskaya s’évanouissent jusqu’à l’effacement. Leurs surfaces fêlées pénètrent le mystère d’une réflexion sur le temps, qui peut renvoyer plus précisément au temps propre à la femme. https://www.palatygallery.ru/eng, https://www.instagram.com/irina.r.art/?hl=fr

– Une deuxième bibliothèque a suspendu notre déambulation au sein du stand de la Scène ouverte, celle du designer néerlandais Rino Claessens dont les modules en céramique semblent emboîtés comme des puzzles. Le travail de l’arrondi fixe le point commun de ses différentes œuvres où la matière solide se métamorphose en lignes d’une douceur presque liquide. https://galerie-sceneouverte.com/

Margo Poisson incarne dans ses objets l’oxymore du lourd et du leste. Y aurait-il une allusion entre le nom de la toute jeune artiste et le pied de cette lampe recouvert d’une corde faussement flottante de bateau de pêche ? Nous en retiendrons l’amusement de ces jeux picturaux aussi étonnants que ludiques. https://maisonjaunestudio.com/

Le PAD offre une seconde édition française de son salon du 12 au 20 juillet 2025 à Saint-Tropez, entre deux bains de soleil, c’est une occasion à ne pas manquer !

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