PointeMag

Mouvance d'élégance à la Paris Fashion Week Femme automne-hiver 2024-2025

Y a-t-il un bon style ? Non, le bon style, bien évidemment en dehors de toute faute de goût, c’est celui qui vous convient. Nous ne cacherons pas notre ligne artistique dans la rubrique mode de PointeMag. Nous ne vanterons jamais assez l’importance de l’élégance qui incarne notre vision du beau, du bon et du bien (pour ne pas citer la triade platonicienne). Elle repose sur nos affinités au chic, à la sophistication ainsi qu’à notre fervent enthousiasme pour l’évolution d’une mode à la fois innovante et valorisant ses traditions. Nous avons donc sélectionné pour vous, dans un ordre chronologique, les défilés représentatifs de cette mouvance d’élégance de la Paris Fashion Week femme automne-hiver 2024-2025 : Givenchy, Uma Wang et Chanel.

Un directeur artistique chez Givenchy ?

  Les deux derniers défilés de Givenchy automne-hiver, homme le 17 février 2024[1] et femme le 29 février 2024, nous ont tellement subjugués au point que l’on en viendrait à se demander si la maison Givenchy a vraiment besoin d’un directeur artistique ! Toujours dans l’attente de connaître le nom du ou de la prochaine promue, c’est donc le studio Givenchy qui a pris en charge la création de ces deux dernières époustouflantes collections depuis le départ de l’américain Matthew Williams, qui n’avait pas porté la marque à son plus haut; aujourd’hui, Givenchy peut enfin renaître de ses cendres.

  C’est le moment opportun pour un retour vers le passé et un ressourcement au sein des archives. L’imprimé félin – inspiré d’un ancien dessin de chat de la Maison – se métamorphose en une sublime robe du soir dont la traîne vient prolonger le jeu de chatoiement argenté. Il se décline aussi en manteau, jupe, pantalon, dans des nuances noires et grises avec les petits yeux du chat qui peut nous fixer parfois.

  On retrouve également la veste tailleur, typique du créateur, aux hanches fortement soulignées, non plus sous sa forme croisée à double boutonnage, mais droite, ornée d’un seul bouton central, dont le tissu scintillant bleu céleste et le revers aux bords arrondis modernisent la version plus traditionnelle.

C’est un des nombreux exemples de renouvellement adroit des pièces phares de Givenchy, totalement dépoussiérées, notamment par la pointe glam rock, qui se manifestait déjà chez les hommes en janvier et semble atteindre son apogée chez les femmes à travers divers éléments discrètement insérés : la discrétion étant ce savoir-faire si précieusement caractéristique de la Maison.

  C’est à la fois le retour subtil et moderne d’anciennes pièces mais également la réintroduction habile du style rock, pourtant évanoui cette dernière décennie, qui font si parfaitement fonctionner ce nouveau tournant. Les belles pièces de cuir structurées, les manteaux de rockstar colorés à poil long, l’omniprésence du noir qui s’incruste jusqu’au creux des regards ultra khôlés, et les touches de rouge pétant, sont autant de rappels à l’esprit rock qui équilibre une extrême élégance classique et la sagesse d’une sophistication épurée.

Les deux derniers défilés de Givenchy automne-hiver, homme le 17 février 2024[1] et femme le 29 février 2024, nous ont tellement subjugués au point que l’on en viendrait à se demander si la maison Givenchy a vraiment besoin d’un directeur artistique ! Toujours dans l’attente de connaître le nom du ou de la prochaine promue, c’est donc le studio Givenchy qui a pris en charge la création de ces deux dernières époustouflantes collections depuis le départ de l’américain Matthew Williams, qui n’avait pas porté la marque à son plus haut; aujourd’hui, Givenchy peut enfin renaître de ses cendres.

  C’est le moment opportun pour un retour vers le passé et un ressourcement au sein des archives. L’imprimé félin – inspiré d’un ancien dessin de chat de la Maison – se métamorphose en une sublime robe du soir dont la traîne vient prolonger le jeu de chatoiement argenté. Il se décline aussi en manteau, jupe, pantalon, dans des nuances noires et grises avec les petits yeux du chat qui peut nous fixer parfois.

  On retrouve également la veste tailleur, typique du créateur, aux hanches fortement soulignées, non plus sous sa forme croisée à double boutonnage, mais droite, ornée d’un seul bouton central, dont le tissu scintillant bleu céleste et le revers aux bords arrondis modernisent la version plus traditionnelle.

C’est un des nombreux exemples de renouvellement adroit des pièces phares de Givenchy, totalement dépoussiérées, notamment par la pointe glam rock, qui se manifestait déjà chez les hommes en janvier et semble atteindre son apogée chez les femmes à travers divers éléments discrètement insérés : la discrétion étant ce savoir-faire si précieusement caractéristique de la Maison.

  C’est à la fois le retour subtil et moderne d’anciennes pièces mais également la réintroduction habile du style rock, pourtant évanoui cette dernière décennie, qui font si parfaitement fonctionner ce nouveau tournant. Les belles pièces de cuir structurées, les manteaux de rockstar colorés à poil long, l’omniprésence du noir qui s’incruste jusqu’au creux des regards ultra khôlés, et les touches de rouge pétant, sont autant de rappels à l’esprit rock qui équilibre une extrême élégance classique et la sagesse d’une sophistication épurée.

Les sinistres merveilles oniriques d’Uma Wang

  Uma Wang, créatrice de mode d’origine chinoise, présente une nouvelle fois à Paris le 29 février 2024 ses dernières créations à la Cathédrale américaine dont l’architecture néo-gothique fait ressortir les sinistres merveilles oniriques que nous dévoile sa collection automne-hiver 2024-2025.

  En guise de défilé se succèdent de curieuses vieilleries repêchées d’un ancien manoir poussiéreux qui ne sont plus bonnes qu’au recyclage, tel un ensemble de coussins en velours aux nuances bordeaux plus ou moins passées, un long manteau droit à motif dont l’un des pans, usé par une surexposition séculaire, a-symétrise les coloris. Ce modèle aux différentes couleurs mises à l’honneur, beiges, doré, jaune, orangé, jusqu’au rouge plus foncé, est proposé dans une variante qui, sans rappeler la robe de chambre masculine aux tons riches et orientaux des années 20 à 30, évoque un nouvel élément du mobilier tombant sur le corps en un rideau épais et bouillonnant.

  Au contraire ce sont des lignes plus géométriques qui peuvent marquer la silhouette, celles du design moderne, par la répétition de chaussures à bout ultra carré ou du nœud-casque, couvre-chef dont la perpendicularité inquiétante semble s’être évadée d’une dimension onirique ou de quelque établissement angoissant.

  La créatrice partage ces quelques mots : « Cette collection représente mes plus profonds souvenirs […] Les coussins renvoient aux rêves qui sont la forme la plus authentique de la mémoire, et l’oreiller [est] l’outil tangible de ce processus éphémère. Je veux me remémorer des moments, qui ne sont pas nécessairement d’un passé très ancien, mais aussi de mon présent, et les mettre visuellement en scène à travers des formes, des lignes et des couleurs. »[2]

  La collection se vêt donc de ce rêve freudien que la douceur d’un divan rend au premier abord agréable, mais qui peut vite basculer dans le cauchemar. Une image psychiatrique affirmée ressort fortement dès la première tenue. Entre le maxi nœud serre-tête et le casque d’électrochocs un seul battement de cils les sépare. Les plis latéraux mimant ceux de la camisole de force, l’enfermement récurant des bras dans les manteaux jusqu’à les faire disparaître en une figure floue, lointaine, picturale, l’abondante présence du noir, les figures sévères des mannequins aux airs cadavériques, quasi fantomatiques, sont autant d’éléments sinistres qui transforment le rêve en folie, en un mirage d’un asile hanté.

  Mais le vague à l’âme du mental n’empêche en rien l’élégance énergique que nous propose ici Uma Wang. Le choix de couleurs chic que sont le noir, le rouge, le doré, mais également les petits détails comme les grandes boucles d’oreilles, les sacs d’une discrétion minimaliste, ou la référence au luxe hollywoodien par ce long châle broché d’une rose étincelante, donnent aux différents looks ce pouvoir supérieur d’émerveiller. La longueur des manteaux et des robes, le travail méticuleux des plis, du mouvement, du tombé, tracent les traits de structures longilignes et élancées. La créatrice se dit porter une attention particulière aux tissus, au savoir-faire et à la solidité de ses pièces dans une finalité consciencieuse de l’environnement. Par cette collection qui reflète celle d’idées foisonnantes mais mystérieusement si bien harmonieusement coordonnées entre elles, Uma Wang nous montre ainsi toute l’étendue de ses possibilités artistiques, de sa créativité productive dans une mouvance élégante et moderne. Ce n’est plus un sans-faute, c’est une perfection !

  Uma Wang, créatrice de mode d’origine chinoise, présente une nouvelle fois à Paris le 29 février 2024 ses dernières créations à la Cathédrale américaine dont l’architecture néo-gothique fait ressortir les sinistres merveilles oniriques que nous dévoile sa collection automne-hiver 2024-2025.

  En guise de défilé se succèdent de curieuses vieilleries repêchées d’un ancien manoir poussiéreux qui ne sont plus bonnes qu’au recyclage, tel un ensemble de coussins en velours aux nuances bordeaux plus ou moins passées, un long manteau droit à motif dont l’un des pans, usé par une surexposition séculaire, a-symétrise les coloris. Ce modèle aux différentes couleurs mises à l’honneur, beiges, doré, jaune, orangé, jusqu’au rouge plus foncé, est proposé dans une variante qui, sans rappeler la robe de chambre masculine aux tons riches et orientaux des années 20 à 30, évoque un nouvel élément du mobilier tombant sur le corps en un rideau épais et bouillonnant.

  Au contraire ce sont des lignes plus géométriques qui peuvent marquer la silhouette, celles du design moderne, par la répétition de chaussures à bout ultra carré ou du nœud-casque, couvre-chef dont la perpendicularité inquiétante semble s’être évadée d’une dimension onirique ou de quelque établissement angoissant.

  La créatrice partage ces quelques mots : « Cette collection représente mes plus profonds souvenirs […] Les coussins renvoient aux rêves qui sont la forme la plus authentique de la mémoire, et l’oreiller [est] l’outil tangible de ce processus éphémère. Je veux me remémorer des moments, qui ne sont pas nécessairement d’un passé très ancien, mais aussi de mon présent, et les mettre visuellement en scène à travers des formes, des lignes et des couleurs. »[2]

  La collection se vêt donc de ce rêve freudien que la douceur d’un divan rend au premier abord agréable, mais qui peut vite basculer dans le cauchemar. Une image psychiatrique affirmée ressort fortement dès la première tenue. Entre le maxi nœud serre-tête et le casque d’électrochocs un seul battement de cils les sépare. Les plis latéraux mimant ceux de la camisole de force, l’enfermement récurant des bras dans les manteaux jusqu’à les faire disparaître en une figure floue, lointaine, picturale, l’abondante présence du noir, les figures sévères des mannequins aux airs cadavériques, quasi fantomatiques, sont autant d’éléments sinistres qui transforment le rêve en folie, en un mirage d’un asile hanté.

  Mais le vague à l’âme du mental n’empêche en rien l’élégance énergique que nous propose ici Uma Wang. Le choix de couleurs chic que sont le noir, le rouge, le doré, mais également les petits détails comme les grandes boucles d’oreilles, les sacs d’une discrétion minimaliste, ou la référence au luxe hollywoodien par ce long châle broché d’une rose étincelante, donnent aux différents looks ce pouvoir supérieur d’émerveiller. La longueur des manteaux et des robes, le travail méticuleux des plis, du mouvement, du tombé, tracent les traits de structures longilignes et élancées. La créatrice se dit porter une attention particulière aux tissus, au savoir-faire et à la solidité de ses pièces dans une finalité consciencieuse de l’environnement. Par cette collection qui reflète celle d’idées foisonnantes mais mystérieusement si bien harmonieusement coordonnées entre elles, Uma Wang nous montre ainsi toute l’étendue de ses possibilités artistiques, de sa créativité productive dans une mouvance élégante et moderne. Ce n’est plus un sans-faute, c’est une perfection !

L’excès-lence d’élégance à la Chanel

  La semaine de la mode se termine dans l’excès-lence d’élégance le 5 mars 2024 au Grand Palais Éphémère, métamorphosé par Chanel en un mini Deauville imaginaire. La projection introductive d’un court remake d’Un homme et une femme mettant en scène Pénélope Cruz, l’ambassadrice, et Brad Pitt, l’ancienne égérie de la Maison, nous transporte dans une atmosphère lelouchienne

  Les planches figuratives de la célèbre plage normande forment le tapis rouge de la capeline, star de la nouvelle collection automne-hiver 2024-2025. La coiffe est un rappel, au passage, du début de la carrière de Coco qui commença comme modiste pour ouvrir ensuite sa première boutique en 1913 à Deauville.

  En écho à ce repli sur l’histoire, une profusion d’élégants accessoires chamarre le stylisme du vêtement qui n’en est pas pour le moins splendide. Ainsi leur haute brillance contraste avec les pièces en laine structurée, qui absorbent au contraire la lumière pour créer un joli effet de scintillement dans le mouvement, comme la chaînette dorée du 11.12, les nombreuses parures aux symboles iconiques, et la finesse d’une ceinture en double C. Elle donne le refrain aux divers ensembles, accrochée à un tailleur, pull ou cardigan ou aux manteaux longs à volonté, droits ou croisés, ouverts ou fermés, dont on imagine les pans osciller au gré des rafales du Noroît ainsi que volent dans les airs les rubans des fameux catogans.

  Au centre de la scène, se profilent donc les traits de l’élégante vacancière en cure deauvillaise, dont le profil bascule facilement vers le chic un peu voyou lorsqu’elle n’est plus chapeautée de la capeline aux riches bords pastel, mais de la chaude casquette anglaise (clin d’œil aux voisins d’en face), qui tout en protégeant du crachin normand peut casser la féminité d’un look ultra doré. On reconnaît dans le jean la réaffirmation du chic nonchalant et du côté pratique auquel Gabrielle Chanel tenait tant par cet assortiment de larges pantacourts confortables que des gants d’opéra retroussés peuvent habiller pour former un bel ensemble sophistiqué. Toujours dans cette même idée, on ne pourrait compter le nombre de poches qui ont envahi le défilé dont les sept mythiques du 11.12 et les quatre plaquées, signature du tailleur Chanel.

  Retrouver l’ADN de la Maison est la vision très claire de cette nouvelle collection à travers ces multiples références inhérentes à son histoire : l’abondance de bijoux, éléments incontournables renvoyant inévitablement à la collection « Bijoux de diamants » de 1932, les camélias du manteau noir au large col cape, dont la forme impressionnante reflète cette assurance à la Coco Chanel, le retour des teintes pastel qui rehaussent les tonalités sombres de l’hiver, la couleur bordeaux (à l’origine framboise) utilisée pour la création du sac qui vient jusqu’à teinter les verres de lunettes de soleil, ou la simple petite robe noire parée d’un sautoir argenté.

« Faire un meilleur avenir avec les éléments du passé » phrase de Goethe que Karl Lagerfeld fit sienne, c’est ce que Virginie Viard a, à son tour, bellement prouvé par le retour à ces essentiels qui font rimer élégance avec excellence et n’abonderont jamais assez. Ce que nous attendons désormais pour ce « meilleur avenir », ce serait une transition du 11.12 en peau d’ananas, pour l’aimer vraiment un peu plus longtemps.

La semaine de la mode se termine dans l’excès-lence d’élégance le 5 mars 2024 au Grand Palais Éphémère, métamorphosé par Chanel en un mini Deauville imaginaire. La projection introductive d’un court remake d’Un homme et une femme mettant en scène Pénélope Cruz, l’ambassadrice, et Brad Pitt, l’ancienne égérie de la Maison, nous transporte dans une atmosphère lelouchienne

Les planches figuratives de la célèbre plage normande forment le tapis rouge de la capeline, star de la nouvelle collection automne-hiver 2024-2025. La coiffe est un rappel, au passage, du début de la carrière de Coco qui commença comme modiste pour ouvrir ensuite sa première boutique en 1913 à Deauville.

En écho à ce repli sur l’histoire, une profusion d’élégants accessoires chamarre le stylisme du vêtement qui n’en est pas pour le moins splendide. Ainsi leur haute brillance contraste avec les pièces en laine structurée, qui absorbent au contraire la lumière pour créer un joli effet de scintillement dans le mouvement, comme la chaînette dorée du 11.12, les nombreuses parures aux symboles iconiques, et la finesse d’une ceinture en double C. Elle donne le refrain aux divers ensembles, accrochée à un tailleur, pull ou cardigan ou aux manteaux longs à volonté, droits ou croisés, ouverts ou fermés, dont on imagine les pans osciller au gré des rafales du Noroît ainsi que volent dans les airs les rubans des fameux catogans.

Au centre de la scène, se profilent donc les traits de l’élégante vacancière en cure deauvillaise, dont le profil bascule facilement vers le chic un peu voyou lorsqu’elle n’est plus chapeautée de la capeline aux riches bords pastel, mais de la chaude casquette anglaise (clin d’œil aux voisins d’en face), qui tout en protégeant du crachin normand peut casser la féminité d’un look ultra doré. On reconnaît dans le jean la réaffirmation du chic nonchalant et du côté pratique auquel Gabrielle Chanel tenait tant par cet assortiment de larges pantacourts confortables que des gants d’opéra retroussés peuvent habiller pour former un bel ensemble sophistiqué. Toujours dans cette même idée, on ne pourrait compter le nombre de poches qui ont envahi le défilé dont les sept mythiques du 11.12 et les quatre plaquées, signature du tailleur Chanel.

Retrouver l’ADN de la Maison est la vision très claire de cette nouvelle collection à travers ces multiples références inhérentes à son histoire : l’abondance de bijoux, éléments incontournables renvoyant inévitablement à la collection « Bijoux de diamants » de 1932, les camélias du manteau noir au large col cape, dont la forme impressionnante reflète cette assurance à la Coco Chanel, le retour des teintes pastel qui rehaussent les tonalités sombres de l’hiver, la couleur bordeaux (à l’origine framboise) utilisée pour la création du sac qui vient jusqu’à teinter les verres de lunettes de soleil, ou la simple petite robe noire parée d’un sautoir argenté. « Faire un meilleur avenir avec les éléments du passé » phrase de Goethe que Karl Lagerfeld fit sienne, c’est ce que Virginie Viard a, à son tour, bellement prouvé par le retour à ces essentiels qui font rimer élégance avec excellence et n’abonderont jamais assez. Ce que nous attendons désormais pour ce « meilleur avenir », ce serait une transition du 11.12 en peau d’ananas, pour l’aimer vraiment un peu plus longtemps.

DE L'ÉLÉGANCE FEMME AUTOMNE-HIVER 2024-2025 ON POINTERA :

– Les longs manteaux croisés ou droits pour une silhouette plus svelte (idem chez les hommes) !

– L’importance des accessoires pour rehausser élégamment un style : bijoux, ceinture, chapeau, gants…

– Le retour du glamour rock pour varier les chic. 

– L’esprit du détail qui anoblit l’ensemble. 

– Les longs manteaux croisés ou droits pour une silhouette plus svelte (idem chez les hommes) !

– L’importance des accessoires pour rehausser élégamment un style : bijoux, ceinture, chapeau, gants…

– Le retour du glamour rock pour varier les chic. 

– L’esprit du détail qui anoblit l’ensemble. 

Tous droits réservés